mardi 13 décembre 2011

Merci de compatir

Deux hits dans les cours de récré, en ce moment. Ça :


Et ça :


Oui, aïe. Au début, on était un peu hébétés, nous les adultes qui côtoyons Didi et la Pistache, on ne comprenait pas. Quand j'ai constaté que ma nièce connaissait aussi par cœur, mon instit' de sœur m'a confirmé l'étendue du carnage, et la détresse du corps enseignant, encore une fois en première ligne.
Au bout d'un moment, avec mon cher et tendre, on a regardé sur Internet (parce qu'on n'avait que la version chantée par les enfants, jusque là). On aurait peut-être mieux fait de s'abstenir.
En fait on préfère les versions des enfants, au moins c'est rigolo. Mais c'est tout le temps. Alors qu'une fois suffit pour les avoir dans la tête pendant deux jours, ces mélodies. On a pris le parti d'en rire et de faire de ce calvaire un moment complice en chantant en cœur avec eux.

Pour Chérie Coco, on ne comprenait pas la deuxième phrase, quand les enfants chantaient. Après avoir écouté l'original, on ne comprenait toujours pas. Notre version : "Ce qu'il a fait, c'est un Gervitaaaa !" (surtout que cette petite chorale improvisée a généralement lieu pendant les repas). Allez, rions un peu, ne regardez pas tout de suite la version avec paroles sur YouTube, et faites-nous profiter de vos hypothèses.

Je suis sûre que vous donneriez cher pour nous voir tous les quatre en train de chanter "Ce qu'il a fait, c'est un Gervitaaaa !" à table. Moi, en tous cas, maintenant, je souris en vous imaginant en train de fredonner l'un des deux airs dans la rue ou dans une allée de supermarché, sans même vous en rendre compte. Allez, sans rancune.

vendredi 25 novembre 2011

Billet facile en période de boulot intense

Allez, j'en ai marre de ce paragraphe, je vais le faire au traducteur automatique :

"Dès mon arrivée ici, il a été un succès pour moi. Donc, dès que je suis arrivé à bloc cellulaire, ils m'attendaient. Ils vous mettre sur la liste noire, ce qui signifie que la première chance d'abord aller. Parfois, il s'agit de coups bas pour, parfois il s'agit de coups de couteau, des membres de gangs ex aussi, vous avez frappé d'une mort sur ​​vous."

Ah ben non, finalement.

Non, je ne me disperse pas du tout.
 

samedi 12 novembre 2011

Ca faisait longtemps...

Et hop, vite fait, bien fait, un petit créneau. C'est vraiment histoire de mettre quelque chose...


Dès la semaine prochaine, je divise par deux le temps de travail salarié alimentaire à la boutique. Plus de temps pour le(s) blog(s) ? Portez-vous bien !

mercredi 9 novembre 2011

samedi 29 octobre 2011

Nouvelle arme biologique

Plus redoutable que les enveloppes truffées d'anthrax et qu'une armée d'avions furtifs réunis. Les Américains n'auraient pas pu l'imaginer, même dans leurs pires cauchemars.
Didi l'a fait : le calendrone.


(Ah bon, ça se voit que ce sont les vacances et que je passe mes journées avec mes enfants ?)

jeudi 27 octobre 2011

La cause des parents (chéris)

Vous avez un enfant (voire plusieurs ?) plutôt petit, genre entre 3 et 5 ans, dont chaque phrase commence par "non", et dont les petites mains semblent possédées par un esprit frappeur que rien ne saurait exorciser ? ("- Mais ! Tu me tapes ?" / "- Non, je te tapote" / "- Mais pourquoi tu fais ça ?" / "- Parce que j'aime bien.")
Vous êtes parfois -souvent ?- désemparé(e) face à son état de rébellion permanent, et épuisé(e), tel Sisyphe, de devoir rouler, jour après jour, le rocher des cris et châtiments ? Vous avez l'impression de passer votre temps à reprendre et invectiver votre chère tête blonde ? Alors je vous conseille ma dernière lecture en date, L'autorité expliquée aux parents, de Claude Halmos.

Sans (trop) douter des principes d'éducation que j'ai fait miens, j'ai constaté que je doutais souvent de moi, de la cohérence de mes actes.
Pour quelqu'un comme moi, ce petit bouquin a donc eu un effet très bénéfique : je savais ou sentais déjà, instinctivement, un grand nombre des principes qu'il énonce, mais ce n'est pas la même chose de les voir confirmés, verbalisés et approfondis par une psychanalyste renommée. Ni de comprendre réellement sur quels fondements ils reposent, et ce qui, dans la nature de l'enfant, fait qu'éduquer est une tâche titanesque, jamais achevée.
Certaines affirmations me semblaient évidentes, et pourtant je ne me les étais pas vraiment appropriées :
- un enfant sait toujours quand un acte est justifié, et motivé par l'amour qu'on lui porte. Il sera toujours reconnaissant de se voir poser des limites, car celles-ci le rassurent ;
- il vaut mieux faire des erreurs que se laisser paralyser par la peur de mal faire, et quoi qu'il arrive, il n'est jamais trop tard pour redresser la barre ;
- faire passer un enfant d'un fonctionnement pulsionnel, mû par la recherche du plaisir, à un fonctionnement civilisé demande des efforts colossaux, pour lui comme pour ses parents. C'est cela qui explique l'aspect répétitif et laborieux de l'éducation. Bonne nouvelle, votre incompétence supposée n'a rien à voir là-dedans !

J'ai aussi constaté que je souffrais de croire, sans même en être consciente, à certains mythes que l'auteure déboulonne avec conviction :
- non, il n'existe pas d'autorité naturelle, et quiconque est convaincu du bien-fondé des règles qu'il estime devoir transmettre à son rejeton saura les lui imposer avec fermeté (fait vérifiable instantanément, c'est... vertigineux).
- non, il n'est pas possible (ni souhaitable pour la construction de son enfant !) d'être un "parent zen" en toute circonstance.

En bref, ce livre m'a permis de me débarrasser de nombreux doutes, de me déculpabiliser (autre tâche titanesque s'il en est) et de prendre conscience de beaucoup de choses (oui, la précision, c'est mon fort).

Ce soir, à la maison, comme souvent en ce moment, il y avait manif' en guise d'apéritif (1 manifestant selon la Pistache, 1 selon la police) : le peuple avait décidé de crier à la face du monde l'injustice dont il était victime (devoir se laver les mains avant de passer à table). Et de se rouler par terre, peut-être même de distribuer une baffe ou deux (je ne sais pas, je ne sais plus, je ne veux plus savoir). Le tyran sanguinaire a abattu son impitoyable sentence et envoyé le dissident croupir dans la salle de bains. Porté par un courage inouï, celui-ci a continué à crier sa colère et sa révolte, tentant de détruire la porte de sa prison (sa prison physique, mais aussi sa prison morale, oui) à coups de pieds, et précipitant les flacons de shampooing et de gel douche (symboles répugnants de la purge imposée par l'opresseur) au fond de la baignoire. Pour finalement hurler cette phrase, immédiatement passée à la postérité :

"Maman chérie, t'es méchaaaaante !!"

samedi 15 octobre 2011

Photo non contractuelle

Hier soir, la Pistache (3 ans hier !), regardant l'emballage de sa compote :

" - C'est à la fraise ?
  - Oui.
  - Et aussi à la poire ?
  - Non, à la pomme. C'est pommes-fraises.
  - Et aussi aux feuilles ? "




dimanche 2 octobre 2011

Cherchez l'erreur #1 : la soluce

Le plus rapide a été... Tonton ! Sa réponse : "Le melon charentais... vient du Maroc !"

Il était suivi de près par Lydia, Chouchou, 80alattaque et Tatie les Piles, dont l'humour n'a d'égal que le savoir culino-géographique, et qui ont fait cette précision : "le melon charentais est le nom de la variété, pas une indication de provenance".  Ce serait d'ailleurs "le même qu’on appelle aussi melon de Cavaillon, Cavaillon étant en région PACA". Voir aussi ces deux pages. Merci Mesdames !

Je dois dire que l'idée m'a traversé l'esprit après avoir posté mon billet, mais que j'étais trop contente d'avoir blogué et trop passée à la tâche suivante pour aller vérifier. J'assume. ;)

 

mardi 27 septembre 2011

Cherchez l'erreur #1 : le melon

Double événement : deuxième billet en moins d'une semaine, et ouverture d'une nouvelle rubrique : "Cherchez l'erreur". Une seule règle, très simple : m'envoyer les réponses par mail plutôt que de les mettre en commentaire, pour ne pas gâcher le plaisir aux autres. Allez, on commence par une facile :



vendredi 23 septembre 2011

L'étrange cuisine de Mme Chonchon

Et hop, merci le hasard de la chimie de l'eau de cuisson du riz (et à Monsieur, si alerte pour dégainer son APN et saisir l'instant, avant que la mousse ne se désagrège et n'emporte avec elle cette forme hilare). Et un billet vite fait, dans une de mes catégories préférées, qui plus est.

 

J'en profite pour vous donner quelques nouvelles : il n'est pas certain que je vous parle de mon "nouveau" boulot, avant de l'avoir arrêté. Oui, celui-là même qui a fini de me ravir les quelques instants que je réussissais à consacrer aux blogs (dont le mien) ces six derniers mois. Mais je le ferai quand même un jour, tant pis si c'est du réchauffé.
Pas de temps = du boulot, en trad aussi, donc pas de plainte ! Mais fin octobre, en redevenant une indépendante précaire à 100% (mais liibre !), je récupérerai du temps. Je ne fais plus de promesses sur mon retour à une activité cybernétique normale, on verra ce que ça donne.

Portez-vous bien !

lundi 1 août 2011

Quand l'appétit va, tout va ?

Depuis quelques mois, notamment avec le boulot à la boutique bio, je m'interroge pas mal sur mes habitudes alimentaires, leurs origines, leur bien-fondé (ou non) et leurs conséquences, sur ma santé comme sur l'environnement.

Je ne vais bien sûr pas tout changer de manière drastique du jour au lendemain (il faudrait que je sois sûre de moi, et donc pour cela, en bonne sceptique que je suis, que je me documente un minimum).
Mais je suis par exemple de plus en plus convaincue de l'intérêt de manger moins de viande au quotidien, car il semble que nous en consommions plus que nécessaire, que sa production pollue beaucoup et prive une partie de la population mondiale de nourriture (dans les bouquins que j'aimerais trouver le temps de lire, un jour, il y a notamment celui-ci).


De plus, privilégier la qualité sur la quantité et/ou la fréquence de notre consommation de viande peut, je pense, contribuer à améliorer les conditions de vie et d'abattage des animaux (sans jouer les B.B., un reportage vu cet hiver dans Tracks sur le bouquin de Safran Foer, Faut-il manger les animaux, m'a interpelée [Une critique intéressante et qui en résume l'essentiel ici]. Au point de voir le film The Road / La Route* comme une réflexion, justement, sur notre légitimité à manger de la viande, une métaphore sur la façon dont on traite les animaux, notamment aux États-Unis. Mais bon, ce film, même si je l'ai adoré, m'a traumatisée).
* cliquer sur le titre anglais pour la VO et sur le titre français pour la VF.


Je m'interroge aussi sur les histoires qui circulent sur le lait de vache, mais là je suis beaucoup plus méfiante, et veux vraiment mener ma propre enquête avant de décider quoi que ce soit. D'autant que les laits végétaux coûtent horriblement cher, et que les enfants et moi sommes l'antithèse de l'intolérance au lactose. Mais ne serait-ce que par souci écologique et curiosité gustative, je teste pas mal de choses en ce moment.

En tout cas, j'ai été étonnée de voir à quel point les habitudes sont difficiles à changer, surtout avec le rythme effréné typique de la vie citadine. Quand on court tout le temps, pas évident de déplacer ses repères ; ça demande du temps, de l'énergie et des neurones, choses donc je manque souvent en ce moment. Et puis c'est un peu flippant, quand on a des enfants en bas âge, de toucher à ce qu'on nous a toujours présenté comme des piliers de l'alimentation, les éléments indispensables à bonne croissance, un œil vif et un poil brillant (oui, je sais Chéri, je suis une bonneuh mèère).

Bref, pour me cultiver et pêcher des idées ailleurs que chez mon poissonnier (qui, finalement, ne s'y connaît pas si bien que ça en légumes et autres végétaux), j'ai récemment acheté ce bouquin, que je recommande vivement.


Non seulement il est beau, agréable à feuilleter et bien rédigé, mais il comporte aussi tout une partie sur les différents types d'aliments, leur origine, leur mode de production, la différence entre le bio et le non bio pour chacun d'entre eux, leurs qualités, leur usage et la manière de les conserver. Si les recettes ne sont pas forcément adaptées à un emploi du temps speed de semaine, elles restent très sympa, et au fur et à mesure que je les parcours et les essaie, je remplis mes placards de nouveaux ingrédients, que je réussis petit à petit à intégrer à mes habitudes (qui changent, donc. Objectif atteint :)
Je n'ai pas encore trouvé de bouquin qui détaille les apports des composants traditionnels de notre alimentation occidentale, et qui indique avec quoi les alterner tout en gardant une alimentation saine et équilibrée, et sans se créer de carences (en restant une bonneuh mèère, quoi). Si vous en connaissez, vous savez où laisser un comm' pas bidon du tout !

P.S. : quant à la référence du titre de ce billet, j'ai découvert récemment que tout le monde ne connaissait pas cette scène d'anthologie d'Astérix & Cléopâtre. Dingue.

mercredi 27 juillet 2011

2 mois...

P**** deux mois !!! Pfff, voilà ce qu'il m'évoque, ce blog :


Pendant ces deux mois, il y a eu : toujours le boulot à mon nouveau boulot que j'ai depuis 5 mois, et sur lequel j'arriverai peut-être à poster mon billet trop rigolo que j'ai en tête depuis le début. Avant la fin dudit boulot, fin octobre, ce serait mieux.
Les enfants, encore et toujours, avec un apprentissage de la propreté qui s'éternise pour la Pistache, et les 45 changements et nettoyages de slips/pantalons quotidiens, un brin chronophages. Mais aussi de sacrées tranches de rigolade.
Des trads, qui s'ajoutent au nouveau boulot, et laissent très peu de temps pour... quoi que ce soit.
La déclaration d'impôts en 3 exemplaires (encore un des petits plaisirs de la séparation en 2010), la déclaration annuelle des trads à la société de droits d'auteurs (avec arrachage de cheveux et serments devant St Procrastinator que l'année prochaine, on ne m'y reprendra pas, je pointerai mes diffusions au fur et à mesure... comme d'hab', quoi).
Très peu d'heures de sommeil, malgré mes bonnes résolutions (voir le 1).
Des vacances en famille en Auvergne, bien sympa, bien que sous la pluie (enfin, comme tout le monde, je crois).
Encore pas mal de nœuds au cerveau, mais de moins en moins. Une certaine envie de me tenir à distance du virtuel, pour être plus proche du réel (voir résolution n°2), voilà peut-être aussi ce qui m'a tenue éloignée de la blogosphère.
Du bonheur, de l'amûr, beaucû d'amûr, c'est important de finir cet inventaire à la Prévert là-dessus.

Enfin bon quand même, vous me manquez, les amis. Les enfants partent en vacances vendredi soir... entre deux docus sur les requins, je devrais bien trouver le temps de vous concocter quelque chose ! (siii, avant de m'attaquer à la paperasse non triée depuis deux mois).

Passez un bel été ! (enfin, ce qu'il en reste).

mardi 17 mai 2011

Requins marteaux

Raccompagner un requin bourré, c'est pas du gâteau...


Surtout quand il refuse de lâcher la touillette de son dernier mojito.

Désolée pour ceux qui ne lisent pas cette blagounette pour la première fois. On fait ce qu'on peut. En même temps, elle est drôlissime, donc on ne s'en lasse pas, hein ? Bon allez, j'y retourne.

samedi 7 mai 2011

Immeubles en fête

Ou pas. Moi qui voulais mettre un petit mot dans le hall de mon immeuble pour essayer d'organiser un apéro le 27 mai, je me suis dit, en voyant ça sur la porte d'un voisin, que ce n'était peut-être pas une si bonne idée...


mardi 26 avril 2011

Inf'hair'nal !


Merci Charlotte ! :)
Ouais je sais, je devrais y aller plus doucement, pour ma reprise bloguesque, je vais me griller les yeux et me fouler un doigt...

Les petits lapins du matin

Ne me dites pas... vous n'aviez jamais remarqué ?!

mercredi 16 mars 2011

Une vie de dingue...

Quoi d'autre pourrait me tenir éloignée de vous depuis aussi longtemps ? Contrairement à d'autres fois, en ce moment je n'arrive même plus à lire celles et ceux d'entre vous qui bloguent. Même le démon Facebook, je ne le suis que de loin en loin.
Pour faire vite j'ai, depuis environ un mois, pris un nouveau boulot salarié à mi-temps. Un peu d'argent sûr et certain tous les mois, tout en continuant à traduire : un bon bol d'air (au propre comme au figuré, je sors de chez moi comme de mes habitudes), je suis ravie.
Sauf que depuis un mois pile poil, justement, comme par hasard, le boulot tombe sans discontinuer, en trad. Très loin de moi l'idée de me plaindre, c'est juste que je n'arrête pas.
Mais je pense souvent à vous, et à des billets que je pourrais écrire. Ils sont stockés bien au chaud dans un coin de ma tête, patience (contrairement à certaines périodes de disette créative, réjouissez-vous). Un de ces 4, donc, attendez-vous à un feu d'artifice de billets (ouh-là, je m'avance peut-être un peu, là) comme de coms' sur vos blogs.
D'ici-là portez-vous bien, prenez soin de vous et bon baisers d'ici !

vendredi 18 février 2011

C'est cadeau !

Qui veut un (ou plusieurs) de ces livres, dont je souhaite me séparer ? (cliquer pour agrandir)

jeudi 10 février 2011

So romantic !

La flemmardise et la curiosité ont parfois du bon : je n'ai jamais fait le nécessaire pour cesser de recevoir les courriels de pub d'un hypermarché bien connu, chez lequel je commande parfois, et quand je reçois des promos, je jette toujours un œil distrait, presque par automatisme. Et malgré mon agacement à la vue d'une énième pub pour la St Valentin (oui, avec toi la St Valentin c'est tous les jours, mon amour), aujourd'hui mon attention a été attirée par la dernière vignette, en bas à droite :


Mmm-mmmhh !! "Pour la fin de soirée" ? Je clique ! Et là, déception :


Moi je dis, à quand les sex toys en ligne chez Carrouf' ?? 
Je n'ai pas pu m'empêcher de penser à une amie que la St Valentin ne débecte pas seulement parce que c'est un non-événement commercial et absolument vide de sens, mais aussi à cause de l'idée que des millions de couples font l'amour en même temps. Voici qui complète le tableau, chère A.

lundi 31 janvier 2011

vendredi 28 janvier 2011

Popi(re) !

Petit Ours Brun, c'est vraiment plus ce que c'était. Ou alors Bayard fait des économies sur la relecture. Les lunettes. Non, en fait, là je ne sais pas.


vendredi 21 janvier 2011

Et un carry pour Diabolo !

Dans un billet récent, Diabolo Grenadine a demandé des recettes de cuisine pour baptiser son nouveau carnet. Voici une version de carry héritée par mes parents d'une amie malgache il y a bien 20 ans ; c'est une de mes recettes fétiches, une de celles qu'on ne rate jamais, qu'on choisit quand on veut être sûr du résultat mais qu'on n'a pas forcément beaucoup de temps, super simple mais qui fait toujours de l'effet.

J'aime toutes les cuisines, mais j'ai constaté que je reviens très souvent vers les plats indiens, antillais, asiatiques ou maghrébins ; du coup j'ai chez moi pas mal d'épices et, toujours, un sac de riz parfumé de 5kg (que je cuis normalement au rice cooker, mais je ne m'en suis toujours pas racheté depuis mon déménagement ; je ne sais pas comment je réussis à survivre comme ça depuis bientôt 8 mois). Pour cette recette, je n'ai donc généralement à acheter que la viande (pratique pour les invitations impulsives du samedi soir).

Et tant que j'y suis, j'en profite pour vous taguer, eh eh, vous ne comptiez quand même pas vous en sortir comme ça ? Alors Diabolo, 80 à l'attaque, Tatie les piles, Karine, Mu, Jackie (et Nuku !), Isa, Lor, Beck Monster mais aussi tous les autres, dont j'ignore peut-être les talents culinaires,  ou qui n'avez pas de blog (Chouchou, les commentaires sont là pour ça) c'est quoi, votre recette fétiche, celle que vous adorez faire et refaire, les yeux fermés, et qu'on vous réclame ? (allez, vous pouvez en mettre plusieurs, si vous n'arrivez pas à choisir... Personnellement, j'aurais aussi pu vous parler brownies, poulet au saté ou pintade au chou).


Ingrédients :
- 1 filet mignon de porc (vous pouvez aussi opter pour les variantes, tout aussi délicieuses, et sans changer le reste de la recette, en remplaçant le porc par des joues de lotte ou du poulet et des crevettes (oui oui, les deux ensemble)
- 2 gros oignons
- 1 pincée de gros sel
- 1 morceau de gingembre frais (4-5 cm de long ; vous pouvez acheter une grosse racine et la congeler)
- 3 gousses d'ail
- 2 c. à café de curry
- 1 c. à café de curcuma
- 1 c. à café de massalé
- 2 ou 3 tomates pelées (un des indispensables du placard)
- thym, laurier
- 1 pincée de piment

Ce qu'il faut faire avec :
Dans un mortier, pilez en crème le gros sel, les gousses d'ail et le gingembre coupés en morceaux.
Faites revenir la viande, réservez. Faites revenir les oignons et quand ils sont bien blonds, ajoutez la préparation sel/gingembre/ail.
Ajoutez le curry, le curcuma, le massalé, les tomates pelées, un peu de jus, le thym, le laurier, de l'eau (si besoin), du sel, du poivre et le piment.
Remettez la viande et laissez mijoter.

Servez avec du riz parfumé, de préférence cuit à la vapeur. Pour le vin, choisissez un rouge assez corsé, un vin du sud-ouest, par exemple, car un vin plus léger type Bordeaux sera "écrasé" par les épices.

Voilà, bon week-end et bon appétit, bien sûr ! Vous m'en direz des nouvelles ?

mardi 18 janvier 2011

Aussi long d'en sortir que d'y rentrer

Et pour les ronchonchons sceptiques habituels qui se reconnaîtront, on aperçoit le fanion à l'intérieur, à l'arrière.



A part ça... rien de mieux à vous offrir, comme billet, malgré des idées : it's charrette time, once again !

mardi 11 janvier 2011

lundi 10 janvier 2011

VPC

Il y a quelques jours, j'ai écrit à un site marchand dont le nom commence par un "A" (et contient un "z") pour m'inquiéter de ce que je n'avais toujours pas reçu un colis commandé mi décembre (non, pas un cadeau de Noël, je vous rassure*). Et voici la réponse (reçue très rapidement, je dois le reconnaître ; les traducteurs automatiques sont très réactifs de nos jours) :

Bonjour,
Je vous souhaite une bonne et heureuse année.
et d'accepter nos excuses.
Pourriez-vous s'il vous plaît vérifier avec votre bureau de tri nearst si, en cas qu'ils ont quelque chose pour vous.
Lorsque le paquet était apte grand et woudln't dans votre boîte aux lettres.
Si au cas où ils n'ont rien, s'il vous plaît laissez-nous savoir et nous vous enverrons un remplacement.
Merci pour votre compréhension et votre coopération.
Ruby

En fait, le colis est arrivé le jour-même ; mais je n'ai pas écrit pour rien, au moins j'ai bien rigolé.



*enfin, il y en a un, commandé sur le même site, qui est arrivé trop tard. Du coup, j'ai acheté au destinataire un petit cadeau bonux histoire d'avoir quelque chose à lui offrir le jour J. Le cadeau bis était un poil top petit (non, ce n'était pas un bouquin). Alors dès la rentrée, j'ai emmené l'intéressé changer son article. Et entre l'entrée du magasin et la caisse, j'ai perdu le ticket).

Le (2e) petit dèj' des champions

Un peu avant 10h, retour à la maison après la tournée de largage de mioches (n°1 rejoignant ses pairs dans la fosse aux lions des moyens-grands [ça me rappelle ce sketch, tiens], n°2 rejoignant sa perle de nounou pour un éventail d'activités toutes plus ludiques et intelligentes les unes que les autres [je suis bénie]). Déjà 3 heures après le 1er petit dèj', donc, avalé entre un "mais-euh, y'm'pouuusse !" et un "il est où mon flasss'makouiiine ??"). Après le déblaiement du bazar laissé par le cyclone du matin, avant de se mettre au boulot et pour tenir jusqu'au déjeuner... Il faut bien ça.


Et puis bon, bien sûr, à 16 heures, on ne va pas zapper le goûter, hein (ah bon, je suis la seule personne de plus de 15 ans qui goûte encore ?)


lundi 3 janvier 2011

Elle l'a (presque) fait !

Je vais y arriver. Je PEUX le faire. Ce soir j'ai cru que j'allais réussir à finir de rattraper le retard de lecture et de commentaire de vos blogs accumulé en décembre... mais j'ai préféré en laisser un peu pour demain et vous poster un petit billet. Non, être plus régulière ne fait pas partie de mes bonnes résolutions pour 2011 ;) Il y a belle lurette que j'ai compris que ça ne servait à rien !

Novembre et décembre ont été très pleins question boulot (tout ce qui est pris n'est plus à prendre, et hormis le fait que j'ai eu bien trop peu le temps de vraiment profiter de mes petits et que cela m'a tenue éloignée de vous, je ne m'en plains pas). Malgré tout 2010 s'est terminée calmement, dans le luxe, le calme et la volupté de vacances sans boulot (non, pour une indépendante ce n'est pas si évident que ça), sans mioches (donc pas tout à fait sans culpabilité, mais ça c'est un gros chantier encore en cours), et avec mon mi.

Allez, c'est terriblement bateau mais ça m'amuse : voici mes bonnes résolutions pour 2011 (vous réussissez vraiment à ne pas en formuler, vous, même intérieurement ?) :

1) me coucher plus tôt

2) continuer à faire miennes ces deux devises : "Connais-toi toi-même" (c'est ma psy qui va être contente) et "La vie est trop courte". Ça peut sembler évident, mais il est souvent plus simple d'avancer dans le noir et de rester dans les ornières de la route qu'on s'était tracée au départ. Quitte à se prendre un arbre ou s'embourber, et finir par se perdre complètement (si, si, même sans s'être jamais trouvé, ça reste possible). Le bonheur, c'est tout de suite, là, maintenant, petit scarabée ! Pas quand tu auras enfin plus de temps, plus d'argent, ou que tes enfants seront plus grands (même si à ce moment-là tu auras sûrement plus de temps et d'argent ;)

3) manger mieux, faire plus de sport, blablabla...

4) lire plus. Un des seuls inconvénients que je trouve au fait de travailler chez moi et de ne plus prendre les transports en commun est que j'ai beaucoup de mal à trouver du temps pour lire... Bon, en revanche 2010 a été pour moi l'année des retrouvailles avec le cinéma (j'ai dû y aller 3 ou 4 fois entre 2006 et 2009 ; spéciale dédicace à Chouchou : "le ciné, le ciné... ah, c'est le grand drap blanc où y'a des images qui défilent ?"). En 2011 je devrais continuer à inverser la tendance au point de retrouver (dépasser ?) une fréquentation de nullipare, puisque Môsieur et moi nous apprêtons à prendre une carte de ciné illimitée pour 2 (euh... je crois que ça devient sérieux, là, non ? ;)

Voilà ! Je me relis et je me dis que pour le 1), c'est déjà mal barré. Tant pis ! La vie est trop courte... ;)

 

samedi 1 janvier 2011

2011

Elle est bien bonne, celle-là...


En tous cas, c'est comme ça qu'on vous la souhaite !

Et promis, très vite, des nouvelles...