J'ai décidé de vous faire un petit journal de bord de mon expérience en solitaire. Bon, si ça se trouve je n'aurai pas quelque chose à vous raconter tous les jours. On verra. Bref :
J1 : j'ai failli adopter un chat.
Une copine a recueilli une petite minette de 8 mois, famélique et visiblement martyrisée depuis plusieurs jours par les matous et les enfants de son quartier. Elle ne pouvait vraiment pas la garder, parce que son chien commençait déjà à en avoir marre d'être enfermé dans la cuisine (pff !). Oubliant les contraintes qui sont les miennes (un appart' pas très grand, sans balcon, des finances riquiqui pas très ouvertes aux frais croquetto-vétérinaires), frustrée par l'absence de chat dans ma vie pour la première fois depuis 29 ans, esseulée depuis 24 heures, et n'écoutant que mon grand cœur, j'ai décidé de voler au secours de la pauvre bête. Une sorte d'accueil temporaire, le temps que les associations du coin qui recueillent les chats perdus reprennent du service à la rentrée.
Tant pis si je repars quelques jours en vacances la semaine prochaine, que je ne sais pas du tout si la petite bête supportera la solitude pendant ce temps, et ne bousillera pas tout l'appart'. Tant pis si je dois mentir aux petits pour ne pas leur briser le cœur (on garde le chat d'une copine, il ne va pas rester et nan nan nan on ne peut pas le garder). Tant pis (tant mieux ?) s'il y a de grandes chances pour que s'applique la grande règle qui ne s'est jusqu'à maintenant jamais démentie autour de moi : quand on recueille un chat chez soi, on s'y attache, et il ne repart pas.
Et puis la copine m'a appelée pour me dire que finalement, son véto avait réussi à contacter l'association qui avait fait tatouer la bête, qui allait donc retourner d'où elle venait. Ben sur le coup, alors que je n'arrêtais pas de me répéter que j'étais en train de faire une belle bêtise, j'étais carrément déçue. La bande-son de ce premier jour est toute trouvée.
J1 : j'ai failli adopter un chat.
Une copine a recueilli une petite minette de 8 mois, famélique et visiblement martyrisée depuis plusieurs jours par les matous et les enfants de son quartier. Elle ne pouvait vraiment pas la garder, parce que son chien commençait déjà à en avoir marre d'être enfermé dans la cuisine (pff !). Oubliant les contraintes qui sont les miennes (un appart' pas très grand, sans balcon, des finances riquiqui pas très ouvertes aux frais croquetto-vétérinaires), frustrée par l'absence de chat dans ma vie pour la première fois depuis 29 ans, esseulée depuis 24 heures, et n'écoutant que mon grand cœur, j'ai décidé de voler au secours de la pauvre bête. Une sorte d'accueil temporaire, le temps que les associations du coin qui recueillent les chats perdus reprennent du service à la rentrée.
Tant pis si je repars quelques jours en vacances la semaine prochaine, que je ne sais pas du tout si la petite bête supportera la solitude pendant ce temps, et ne bousillera pas tout l'appart'. Tant pis si je dois mentir aux petits pour ne pas leur briser le cœur (on garde le chat d'une copine, il ne va pas rester et nan nan nan on ne peut pas le garder). Tant pis (tant mieux ?) s'il y a de grandes chances pour que s'applique la grande règle qui ne s'est jusqu'à maintenant jamais démentie autour de moi : quand on recueille un chat chez soi, on s'y attache, et il ne repart pas.
Et puis la copine m'a appelée pour me dire que finalement, son véto avait réussi à contacter l'association qui avait fait tatouer la bête, qui allait donc retourner d'où elle venait. Ben sur le coup, alors que je n'arrêtais pas de me répéter que j'étais en train de faire une belle bêtise, j'étais carrément déçue. La bande-son de ce premier jour est toute trouvée.
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